LE TRIPODE

Watergang

Mario Alonso


Paul a douze ans et habite à Middelbourg, petit village perdu au milieu des polders. Il y vit avec sa mère, divorcée et contrainte de travailler dans un supermarché, et sa grande sœur, pas encore tout à fait sortie de l’adolescence mais déjà enceinte. Son père est parti refaire sa vie de l’autre côté de la mer. Mais Paul n’est pas un garçon comme les autres. Paul voudrait être écrivain. Il passe ses journées à courir le long des canaux, au bord de l’eau, et à remplir son carnet de notes farfelues sur tout ce qu’il voit. Watergang est son histoire, celle de ceux qu’il aime, et de ce village niché au bout du monde.
 
Watergang est un premier roman d’une grande douceur, teintée d’un humour étonnant. À travers le regard d’un enfant plongé dans une situation familiale à la fois difficile et tristement banale, c’est tout un univers qui s’éveille et se reconstruit, ravivant la beauté du monde.


L'illustration de couverture est une peinture de Natalie Levkovska.

 

Lauréat du prix Première de la RTBF.

L’Auteur

Né quelque part en Espagne dans les années 60, Mario Alonso arrive en France et se destine à être handballeur professionnel. Il change bientôt d’avis et devient guitariste dans un groupe de New Wave, puis vendeur de manteaux de fourrures et photographe dans une agence publicitaire, avant de se tourner vers le livre, à cause des écrivains américains qui ont fini par le pervertir.
Il publie en 2021 Lignes de flottaisons, un recueil d'aphorismes rafraîchissants édité en Belgique par Le Cactus inébranlable. Un second opus est prévu en 2023.
Aujourd'hui, l'auteur s’est fixé un nouvel objectif, écrire des romans paysages. Watergang est sa première vague.

Livres de l’auteur en poche

Presse

Un extrait du roman à lire sur Actualitté. 

Mario Alonso signe ainsi un texte contemplatif et intelligent, un roman à la construction aussi habile que fluide – qui ne se perd pas dans la mise en abyme complexe qu’il met en œuvre. Par l’écriture de Paul, aussi multiple que ses rôles – narrateur, personnage, écrivain, et surtout personnage-écrivain – Watergang exerce un magnétisme rare ; roman mystérieux, « en chasse de lui-même », et épris de liberté.
Sophie Benard – L'Éclaireur Fnac (lire ici)

 

D’une plume précise, intense, efficace, tout en phrases courtes, Mario Alonso déploie sa singulière toile narrative. 

Geneviève Simon – La Libre Belgique

 

Watergang tout en magie discrète draine une mélancolie légère qu’on suivra volontiers jusqu’à la mer.

Le Matricule des Anges

 

Mario Alonso signe un premier roman aussi contemplatif qu’envoûtant, baigné par la lumière du Nord et la mélancolie. On se laisse volontiers porter par la vague poétique de Watergang.

Madame Figaro 

 

Un roman choral où chacun vient tour à tour raconter sa propre histoire ; l’auteur donne même la parole aux objets et à la nature. Écrit dans un style à la fois très direct et très poétique, ce roman peut déstabiliser. Un conseil, laissez-vous porter.
Laurence Richer – La Renaissance du Loir-et-Cher

Watergang est un récit surprenant qui, au-delà d’une histoire apparemment simple, distille de la poésie et de la magie.

À voir À lire

 

Mario Alonso entraine son lecteur, et j’ai le sentiment que l’irrigation de toutes ses voix nous donne à voir l’apprentissage d’un petit garçon, mais aussi le monde. 
Émission Paludes

 

Subjugués par la poésie farfelue et la force de ce premier roman.
Isabelle Bourgeois – Avantages

Watergang transcende l’idée même du livre, et met en scène un protagoniste porté par le charisme discret des personnages secondaires, révélant peut-être l’aspiration de chacun à être le héros de sa propre histoire.
Alice Crouzery – Karoo – (lire ici)

 

Quel bonheur ! Quel enchantement ! J'ai été totalement happé, submergé, par l'émotion, la sensibilité et toute la poésie qui se dégage de ce livre. Tout est absolument touchant, quel que soit le personnage qui prend la parole. Quel coup de maître ! J'avais envie que les pages reviennent , que ce soit un livre sans fin. J'aurais aimé rester dans ces polders, avec tous ces individus bouleversants de réalisme, de gravité. J'aurais aimé poursuivre le voyage auprès d'eux et de toute la magie poétique qu'ils dégagent. Quel talent !
Samuel – Médiathèque Hélène Berr – Paris 12e

 

Watergang a agi sur moi comme un chocolat chaud. Il y a cette ambiance frères Dardennes avec un peu plus de poésie et de lumière. C'est surprenant à quel point l'auteur a su capturer l'âme de cet endroit, avec ce procédé du roman choral réinventé. Pour un premier roman, c'est extrêmement bien maîtrisé, vivifiant et original.
Aurélie – Librairie Page et Plume – Limoges

 

Un texte qui sort des sentiers battus et une lecture très émouvante. J'apprécie énormément ce premier roman, qui me sort de ma panne de lecture avec une grande douceur. Il me reste un bon tiers et je le savoure...
Hélène – Librairie La Chouette librairie – Lille

Merveilleuse découverte !
Sylvie – Fnac – Nice

Un roman rude comme le temps à Middlebourg, dans le watergang au bout du monde. Nous suivons Paul, un enfant pas comme les autres. Il veut devenir écrivain. Watergang est son histoire et celle de ceux qu'il aime. Un grand coup de cœur.
Librairie Autres rivages – Buchy

J'aime fortement ce livre, prévu après la vague de Noël.
Librairie Texture – Paris 19e

Tout est ici affaire d'atmosphère. Ce premier roman se respire.
Librairie Place ronde – Lille

Le roman procède par tableaux dans une prose poétique parfois touchée par la grâce (...) Mais l'indécision de la narration qui joue habilement de la mise en abyme (sont-ce les personnages qui parlent ou Paul, lui-même personnage, à travers eux ?) produit un envoûtement assez fort. Un premier roman très prometteur.
Librairie Récréalivres – Le Mans

Un premier roman très prometteur. Une histoire dans laquelle la nature forge le caractère des habitant.e.s de cette petite communauté, le tout décrit par l'œil tendre de ce jeune écrivain en herbe. Une chronique délicieuse.
Jean-Frédéric – Decitre Crêches-sur-Saône

Ce livre est merveilleux.
Librairie Les Cyclades – Saint-Cloud

Un roman extrêmement bien maîtrisé d'un point de vue narratif et très touchant.
Maya – Leslibraires.fr

J’ai beaucoup aimé ce livre tout en ambiance. La couverture est non seulement une réussite mais très pertinente, l’auteur parle de roman de paysage et c’est exactement ça. Des personnages délicats mais dont on se souvient.
Fabienne – Librairie L'Oiseau-Vigie – Saint-Pierre-des-corps

Mario Alonso a du style et il imprime crescendo l’émotion. Dès la naissance de Lucien le désir de faire famille de Paul rencontre une réalité, c’est très beau. Paul court et écrit pour recréer sa famille.
Cyrille – Librairie Les Papiers collés – Draguignan

C’est une grosse claque, une écriture pleine de tendresse et d’humour qui s’insinue en vous et vous quitte difficilement. Laissez-moi dire le meilleur : c’est le premier roman de Mario Alonso et c’est un énorme et massif coup de cœur. Foncez !
Librairie Le Panier des livres – Caluire

Quel texte, quelle douceur, quelle finesse : cette manière de dresser le portrait d'un lieu et de ses habitants, d'une manière à ce que l'on y ait l'impression d'y être et d'y avoir vécu, et qui évoque évidemment tous ces lieux de l'enfance où l'on a trainé nos guêtres... Bref. Waow.
Jeoffroy – Librairie Goulard – Aix-en-Provence

Quel voyage poétique, sensible, j’ai arpenté les polders et me suis immiscée dans l’esprit d’un écrivain ! Génial !
Shirley – Furet du Nord

Un roman comme une respiration, hors du temps, comme cette ville de Middelbourg perdue dans les polders. Mario Alonso parvient à nous fasciner avec cette famille bancale dont la littérature est pourtant peuplée. Des personnages attachants qui semblent transmettre malgré eux la beauté de leur quotidien.
Anaïs – Librairie L'Arbre à lettres – Paris 12e

Un premier roman singulier & envoûtant qui déboussole. Une construction percutante & inattendue. Des phrases courtes. Fragmentées. Douces.
Un narrateur polyphonique qui donne la voix aux vivants, à la nature, aux objets pour dire le Watergang.
Une immersion totale, hors du temps.
Delphine – Librairie Jeux de Pages – Saint-Jean d'Angély

Un roman étonnant et touchant, qui ne se laisse pas oublier.
Sophie – Librairie La Virevolte – Lyon

À travers ce texte, on sent les embruns… on est au cœur de la nature. Une parenthèse enchantée. Un premier roman plein de charme et de poésie. Très jolie découverte de cette rentrée littéraire de janvier.
Chloë – Librairie Clareton des sources – Béziers

Dans ce roman choral, ce ne sont pas seulement les personnages qui s’expriment, mais aussi la ville, les passages, les éléments de la nature et même ceux du décor. Difficile de décrire l’étrange effet que procure la lecture de ce livre, dans lequel on se sent aspiré tout en restant à distance. C’est une écriture belle et contemplative, et en même temps complètement décalée. L’intime se raconte comme universel.
Librairie Livressence – Paris 12e

Qu'est-ce que j'ai aimé démarrer 2022 dans sa douceur, sa poésie, ses regards sans cesse décalés et portés par des voix inattendues ! J'aime qu'il soit aussi brillant que simple, il en reste des images comme cotonneuses, qui perdurent et vers lesquels mon esprit va volontiers se cacher en ce début d'année hystérique.
Aurélie – Librairie La Carline – Forcalquier

Une écriture audacieuse et poétique, qui offre de grands moments de tendresse et de mystère. Je vous le conseille grandement !
Corentin – Librairie Brouillon de culture – Caen

Un roman choral magnifique, d'une poésie incroyable, plein de douceur et de mélancolie.
Marie – Librairie Le Chat botté – Rixensart

Un texte qui enveloppe son lecteur comme un plaid en plein hiver. La mer et les vagues qui bercent, une douce grisaille et une certaine langueur empreintes de bienveillance planent sur ces pages et ses habitants/personnages. Laissez-vous porter, une tasse de thé à la main, par ce premier roman. Une lecture qui fait écho, pour moi, à Ultramarins de Mariette Navarro, dans sa réconfortante étrangeté.
Pryscilla – Librairie De fil en page – Château-Arnoux

C'est beau, c'est dur et doux à la foix, c'est Watergang.
Librairie Nos années folles – Colombes