rien n'est su

rien n’est su est un récit grave, lumineux, habité par l’amour entre une mère et sa fille. Que faire quand le monde s’écroule et que la vie demeure ? Sabine Garrigues raconte la brutalité de la mort, le manque, la réinvention de soi. Les mots, émancipés des majuscules et de toute ponctuation, disent l’insoutenable absence, mais aussi la beauté d’un monde qui comprend le vide et la douleur : « la mort nourrit la vie / avant je ne le savais pas / maintenant je le sais ». 

rien n’est su est le premier livre de Sabine Garrigues.  Écrit au fil des ans après la disparition de sa fille au Bataclan en 2015, il a donné naissance à une pièce radiophonique diffusée en 2022 sur France Culture sous le titre : Nuit de guerre à Paris. L’interprétation était menée par l’autrice et la comédienne Audrey Bonnet, que le Tripode remercie pour la découverte de ce texte.

L’Auteur

Originaire de Châlons-en-Champagne, Sabine Garrigues est comédienne et professeure de yoga. Des années après la mort de sa fille au Bataclan en 2015, elle écrit rien n’est su. Une première version de ce texte est devenue en 2022 une pièce radiophonique pour France Culture avec la comédienne Audrey Bonnet sous le titre : Nuit de guerre à Paris.

Une incantation.  Un texte très beau et déchirant. 
Axelle Simon - France 24 - Retrouvez la chronique TV d'Axelle Simon avec une interview de Sabine Garrigues sur France 24 ici

Consolation, déclaration d'amour, déchirure, manuel de survie, rien n'est su est un peu tout cela à la fois et, par sa beauté digne, prend le lecteur à la gorge. 
Stéphanie Dupays - Le Monde

Alors elle écrit. (...) Pour pouvoir reprendre, malgré, ou grâce à tout. Écrire pour elle, pour son fils survivant et pour nous tous. 
Stéphane Bataillon - La Croix

Ce texte poignant traduit l'impossibilité de formuler le traumatisme pendant plusieurs années et la nécessaire résistance à développer pour tenir le coup, faire ressurgir les pulsions de vie
Marie Fouquet - Livres Hebdo

Un récit poétique, sans majuscule, sans ponctuation, qui dit l'insoutenable absence de l'enfant. 
Claudia Larochelle - Radio Canada

Un sidérant poème
Jacques Lindecker - L'Alsace 

rien n'est su touche au sublime, et sa langue et son rythme au coeur. 
Jérémy Noé - La Marseillaise

Sans majuscule ni ponctuation, ses poèmes nous bouleversent toujours, nous surprennent parfois.
Fred Guilledoux - La Provence

rien n'est su porte en lui le courage, l'envie de vivre et d'expliquer à celles et ceux qui ne peuvent pas comprendre.
Clémence Leboucher -Actualitté 

Le récit grave et lumineux d’une mère sur la brutalité de la mort et la force de l’amour
Mélina Hoffmann - L'info tout court

D'un récit grave et bouleversant, Sabine Garrigues fait émerger une forme poétique lumineuse - et irréductiblement vivante.
Sophie Benard - La Langue française 

Un récit comme un fil de soie tendu entre une mère et sa fille.
Dominique Fidel - Simple Things

J’ai été subjugué par ce livre.
Julien – Librairie Dialogues – Brest

C’est d’une beauté rare, d’une tristesse infinie, mais sans fatalisme pour autant. Ça parle de la vie, ça parle de la mort. C’est la forme qui transcende le fond, c’est un texte d’amour.
Lara – Librairie L’Armitière – Rouen

Un livre fort, poignant, triste, bouleversant, pourtant très beau. Une maman perd sa fille. Elle écrit sur la douleur, sur l’incompréhension. Sur l’absence d’un être cher, sur le deuil mais aussi sur la vie. C’est fort et c’est beau ! N’oubliez pas le titre de ce livre : rien n’est su.
Manon – Librairie Le Furet du Nord – Lille

Un très beau texte, très fort, à la fois poignant et ancré. Cette dignité de mère désenfantée, mais portée malgré tout – malgré elle, peut-être – vers une force de vie.
Nadège – Librairie Antigone – Gembloux (Belgique)

Comment décrire une douleur aussi déchirante que la perte d’un enfant ? Sabine Garrigues opte pour une poésie sobre, introspective et universelle. Ses phrases viennent en vous en intraveineuse. Suzon. 2015. Le Bataclan. Une nuit de guerre dans Paris. S’effondrer. Comprendre. Se relever. Survivre pour qui ? Un fils…
rien n’est su. Tout est dit.
Guillaume – Librairie L’Aire de Broca – Pont-l’Abbé

Un grand livre.
Alain – Librairie Lucioles – Vienne

Un gros coup de cœur.
Katianne – Saint Rémy Presse – Saint-Rémy-de-Provence

Rien n'est su m'a bouleversée. L'écriture est juste sublime ! Merci pour ce texte.

Laurence – Librairie Les Passeurs de textes – Troyes

Ce récit semble être celui de nos pires cauchemars et le désespoir peut effrayer. Pourtant, la beauté de ce texte subjugue. Il nous raconte la difficulté de laisser partir, le vide abyssal de l'absence, la colère, le chagrin et aussi, beaucoup, la tendresse. rien n'est su est simplement la beauté face à la laideur la plus immense et je remercie infiniment Sabine Garrigues pour le courage de son texte et la délicatesse de ses mots.
Pauline – Librairie Le Failler – Rennes

Des attentats de 2015, je n’ai jamais rien voulu lire. Ni fiction ni témoignage. (…) Je pense que sans le savoir j’attendais ce texte-ci. Rien n’est su est un recueil bouleversant dont je termine à l’instant la lecture, en terrasse d’un café, les deux mains agrippées au livre. 

Un texte magnifique à découvrir, le cœur bien accroché, le 14 septembre.

Anaïs – Librairie Les Parages – Paris 11e

Je prends le temps et je savoure la beauté du texte et sa douleur prégnante.

Betty – Librairie La Buissonnière – Yvetot

Depuis sa lecture il fait partie de mes coups de cœur. Je souhaite beaucoup de lecteurs à ce titre poétique et émouvant.

Clotilde – Librairie Victor Hugo – La Teste de Buch

C'est un cri de rage, de fureur, mais aussi un bouleversant hymne à la vie.

Florian – Fnac Belfort

Une lecture totalement bouleversante.

Festival Les Rencontres de Moguériec

Dévoré et adoré.

Librairie Folies d’encre – Noisy-le-Grand

Ce texte nous a bouleversées il est magnifique quelle claque !

Isabelle et Muriel – Librairie Les Causeuses – Bollene

Ce petit livre témoigne d'une si grande résilience chez l'auteure. C'est à la fois une lettre d'amour à sa fille disparue et le refus obstiné de voir sa mort comme une fin. Il constitue pour moi la preuve d'une force vitale considérable et le rappel violent de l'urgence de vivre tant qu'on le peut.

Alexia – Librairie du Cours – Lyon 3^e

Un texte très touchant, le cri d'amour d'une mère pour sa fille. J'espère pouvoir parler de ce texte à nos lecteurs avec toute la force qu'il mérite.

Anne – Librairie Goulard – Aix-en-Provence 

C’est un immense texte d’amour, poétique et émouvant, c’est un cadeau. À celle qui n’est plus, à celle qui reste. C’est cruel et c’est tendre, c’est violent et c’est si beau, c’est poignant et c’est bouleversant. Sourire aux lèvres, larmes aux yeux, cœur serré, respiration retenue. Tout est dans ce texte. Il ne se raconte pas, il se lit, il se vit… et il demeure éternel.

Librairie Aux feuilles volantes – Saint-Paul-les-Dax

Le chemin de cette mère, tout ce qu’elle traverse, est dit avec peu de mots, les bons. Nul besoin de s’épancher. Nous la suivons, nous sommes en elle, dans toutes les étapes que la vie-mort lui imposent. Et elle forte ? folle ? résistante ? résiliente ? Nous-mêmes hésitons. Que faire pour survivre après un tel drame ? Impossible pour elle de s’abandonner à mourir aussi, elle est mère jusqu’au bout pour son fils, le survivant. La réponse, sa réponse, se trouve dans les toutes dernières paroles, celles qui ne peuvent être pensées, dites, comprises qu'après un long cheminement spirituel et ouvert à la Vie. Puisque la mort en fait partie, vivons vivons vivons !

Rita – Librairie Le Blason – Aix-en-provence