Une mise à nu, soudain, a lieu, qu’on pensait indicible. L’enfance écorchée se redresse hors le silence. En un sens, l’œuvre de Régniez est ce vaste intérieur fêlé, qu’il tente de colmater livre après livre, semant çà et là des indices, qui tous mènent à une pièce interdite, aujourd'hui entrouverte, signe d’une maturation et d’un talent qui forcent le respect.
Claro – Le Monde des livres
Un texte saisissant.
Sophie Joubert – L'Humanité
Emmanuel Régniez développe ses propres défenses avec la seule arme qui prouve son efficacité : la littérature, baume souverain contre toute blessure.
Pierre Maury – Le Soir
Emmanuel Régniez parvient dans Une Fêlure — c'est pourquoi ce livre est si admirable et beau — à "raconter l'irracontable", non sans humour dans la première partie, non sans beauté dans les pages de fin. (…) Quel livre…
L’Espadon (chronique entière ici)
Emmanuel Régniez nous en livre une, aussi pleine de silence que des mots pour en masquer le froid. Ses courts chapitres en éludent toute morale, leurs images continuent à nous interroger après nous avoir fascinés.
La Viduité (chronique entière ici)
Emmanuel Régniez livre le récit bouleversant d’un retour à la vie.
Gabrielle Napoli - En attendant Nadeau (lire la chronique ici)
Un texte incroyable.
Roxane – Librairie Les Cyclades – Saint-Cloud
Ce livre est un concentré de courage. Car il en faut, du courage, pour raconter Une fêlure. Mais ne vous méprenez pas, il se dégage de ce court récit beaucoup de douceur et de délicatesse ; tout comme une volonté transcendante et un devoir résolu à libérer la parole, à dire l'indicible, pour enfin s'affranchir des tourments. C'est un acte salvateur et bienveillant, puissant et nécessaire. Un grand merci à Emmanuel Régniez pour sa bravoure et sa sensibilité, qui touchent fort et juste et qui démontrent, encore une fois, l'extraordinaire puissance de la littérature.
Laura Rosello – Librairie Arthaud – Grenoble
Économie de mots pour un résultat tonitruant.
David Leconte – Fnac Beaugrenelle – Paris 15e
Sans verser dans le pathos, Emmanuel Régniez nous livre une histoire violente mais pudique. Une plume juste et authentique qui sert une ascension dans l'horreur finement dosée. Un témoignage franc qui glace, mais qui pardonne.
Lucie – Librairie Les Nouveautés – Paris 10e
Un cri brut et sonore, qui résonne encore après la lecture. Une rédaction difficile, mais vitale, pour l'auteur promeut sa confession comme un texte majeur de l'année. En dénuant son texte de tout artifice et de tout superflu, Emmanuel Régniez nous laisse un texte qui sonne comme une nécessité. Entre la difficulté de l'accouchement et la puissance du rendu, la force du texte nous explose dans l'esprit une fois la lecture achevée.
Cyrille Henry – Librairie Le Merle moqueur – Paris 20e
Les récits sur l'inceste sont très certainement tous utiles et nécessaires pour celles et ceux qui les écrivent, et pour libérer une parole, mais tous ne font pas œuvre de littérature. Celui d'Emmanuel Régniez si. Une fêlure est un pas de plus, après ses deux romans Nôtre château et Madame Jules, dans le sillon creusé par l'auteur, comme une goutte s'acharne sur une roche et la modèle à l'usure. On y reconnaît son talent, sa redoutable ritournelle, ses filiations littéraires, sa proximité existentielle avec la lecture et l'écriture, ses planches de salut. Il y a en plus, évidemment, que c'est un récit qui comme les autres est d'un courage époustouflant, et qui comme les autres, évidemment, bouleverse. Il bouleverse parce que la cohérence d'une œuvre se fait jour.
Lucie Eple – Librairie Le Pied à terre – Paris 18e
Une vibration se livre, un conte cruel, un garçon que l'on aimerait arracher de l'ogresse. Une découverte poétique et cruelle.
Isabelle – Librairie Autres Rivages – Buchy
Un texte magistral qui dit, avec une économie de mots, l'immense puissance de la littérature quand un grand écrivain s'en empare. Un chef-d'œuvre.
Librairie Le Monte en l'air – Paris 20e
Une fêlure m’a bouleversée.
Elisabeth – Librairie La Boîte à Livres – Tours