En tant qu'écrivain, je suis un peu comme une maison hantée.
Marie Richeux – Réécouter l'émission Par les temps qui courent – France Culture
Que l'acteur principal de cet épisode ait pour nom celui d'un poète américain du début du siècle, qu'il soit lui aussi condamné à mourir, et demande à son ami scénariste de le faire sortir de l'écran de la façon la plus digne possible, sont autant de pistes passionnantes qu'on ne révélera pas pour saisir ce qui se trame dans ce roman aussi original qu'intrigant.
Yann Perreau – Les Inrockuptibles
Attiré par les crépuscules et l'esthétique cinématographique, Pierre Cendors publie un septième roman une nouvelle fois troublant, attirant et fantomatique.
Frédérique Roussel – Libération
La question de la fin est partout dans Vie posthume d’Edward Markham, sans tristesse ni douleur, comme un passage, la perception de quelque chose, de ce « premier monde » enfoui sous l’autre, le nôtre. La disparition marque aussi le cinéma, paradoxalement à travers son pouvoir de rémanence : "Le cinéma est une vieille demeure hantée et chaque nouveau locataire hérite de ses esprits errants".
Sébastien Omont – En attendant Nadeau
Vie posthume d’Edward Markham est un livre qui pourra s’avérer déroutant, tant il ne ressemble à aucun autre. C’est un livre dans lequel on retrouve les grandes qualités littéraires de son auteur, faites de mélancolies, de poésie, de malice et d’ingéniosité. Pierre Cendors invente le livre-film avec sa Vie posthume d’Edward Markham. Et on se dit qu’il y a du génie chez cet écrivain…
Jean-Louis Zuccolini – Froggy's delight
Le cosmique Pierre Cendors nous fait pénétrer dans son cinéma visionnaire.
Véronique Rossignol – Livres Hebdo (lire l'avant-critique)
Avec un pouvoir de suggestion et l’intertextualité dont Pierre Cendors a le secret, ce court roman à la saveur de madeleine de Proust est une source de significations inépuisable. Brillant !
La plume au vent – Onlalu
Une série vieille de plus de soixante ans peut renaître, des figures du passé peuvent revenir à la vie, d’autres peuvent être créées de toute pièce, puis mourir. Les mythes s’inventent et se déconstruisent. La seule limite est l’imagination, et avec une plume délicate et évocatrice, Pierre Cendors nous invite à contempler ses frontières.
Adrien Corbeel – RTBF