LE TRIPODE

Mon Étincelle

Ali Zamir


Étincelle est une jeune fille qui se retrouve à bord d’un avion qui relie deux îles de son pays, les Comores. Prise dans les turbulences du vol, et tenaillée entre deux liaisons amoureuses, elle va se remémorer certaines des histoires que lui contait sa mère, à commencer par celle, somptueuse et tragique, qui devait un jour lui donner naissance.

Mon Étincelle remet en scène l’éternel jeu de l’amour et du hasard qui unit les amants. Après Anguille sous roche (Mention spéciale du prix Wepler, Prix Senghor du roman francophone), Ali Zamir confirme avec ce second roman son talent de conteur. Au gré des histoires que vivent des personnages au nom les plus improbables – Étincelle, Douceur, Douleur, Efferalgan, Dafalgan, Vitamine, Calcium – on découvre le monde insulaire, truculent et contrasté d’un écrivain décidément atypique.

"Bien que je n’avais pas entendu maman évoquer la formule populaire « il était une fois », cette histoire résonnait dans ma tête comme un conte de fées : c’est une histoire de deux étudiants qui commence à Madagascar dans la ville de Mahajanga. La ville aux baobabs. Je me rappelle toujours cette histoire à chaque fois que j’affronte une épreuve. C’est l’histoire d’une adolescente de dix-huit ans, timide, réservée, prénommée Douceur et d’un jeune homme courageux de dix-neuf ans, Douleur. Douleur et Douceur s'aimaient éperduement."


La couverture a été réalisée par Juliette Maroni.


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L’Auteur

Ali Zamir est né en 1987 aux Comores. Il vit actuellement à Montpellier. Il est l’auteur au Tripode de Anguille sous roche (2016 ; récompensé notamment de la mention spéciale du prix Wepler et du prix Senghor), Mon Étincelle (2017), Dérangé que je suis (2019 ; récompensé du prix Roman France Télévisions). Jouissance (Le Tripode, 2022) est son quatrième roman.

Livres de l’auteur en poche

Presse

Ali Zamir est un cas somptueux de métissage littéraire. 
Les Inrockuptibles

Il est de retour, toujours au plus près des pauvres gens qu'il hisse en héros, particulièrement les femmes, souveraines à jamais, même au plus noir de leur existence. 
Marine Landrot – Télérama

Une langue sidérante d'inventivité.
Baptiste Liger – LIRE

Sa joie d'écriture est contagieuse, il se lit avec jubilation.
Anne Kiesel – Ouest-France

Le deuxième roman d'Ali Zamir confirme son goût pour une narration imagée, portée par une langue pimentée. 
Livres Hebdo

Truculence, crudité et mots savants : le style d'Ali Zamir est inimitable. 
Librairie Vivement Dimanche – Lyon

Mon Étincelle est un bijou ! [...] Un sublime sans faute.
Anne Tiedje – Librairie Delamain – Paris 1er