De pierre et d'os
Bérengère Cournut
« Les Inuit sont un peuple de chasseurs nomades se déployant dans l’Arctique depuis un millier d’années. Jusqu’à très récemment, ils n’avaient d’autres ressources à leur survie que les animaux qu’ils chassaient, les pierres laissées libres par la terre gelée, les plantes et les baies poussant au soleil de minuit. Ils partagent leur territoire immense avec nombre d’animaux plus ou moins migrateurs, mais aussi avec les esprits et les éléments. L’eau sous toutes ses formes est leur univers constant, le vent entre dans leurs oreilles et ressort de leurs gorges en souffles rauques. Pour toutes les occasions, ils ont des chants, qu’accompagne parfois le battement des tambours chamaniques. » (note liminaire du roman)
Dans ce monde des confins, une nuit, une fracture de la banquise sépare une jeune femme inuit de sa famille. Uqsuralik se voit livrée à elle-même, plongée dans la pénombre et le froid polaire. Elle n’a d’autre solution pour survivre que d’avancer, trouver un refuge. Commence ainsi pour elle, dans des conditions extrêmes, le chemin d’une quête qui, au-delà des vastitudes de l’espace arctique, va lui révéler son monde intérieur.
Deux ans après son roman Née contente à Oraibi, qui nous faisait découvrir la culture des indiens hopis, Bérengère Cournut poursuit sa recherche d’une vision alternative du monde avec un roman qui nous amène cette fois-ci dans le monde inuit. Empreint à la fois de douceur, d’écologie et de spiritualité, De pierre et d’os nous plonge dans le destin solaire d’une jeune femme eskimo.
Édition augmentée d'un cahier de photographies.
La couverture a été réalisée par Juliette Maroni.
De pierre et d'os a reçu le prix du roman Fnac 2019 ainsi que le prix Libr'à nous 2020
L’Auteur
Bérengère Cournut est née en 1979. Ses premiers livres exploraient essentiellement des territoires oniriques, où l'eau se mêle à la terre (L'Écorcobaliseur, Attila, 2008), où la plaine fabrique des otaries et des renards (Nanoushkaïa, L'Oie de Cravan, 2009), où la glace se pique à la chaleur du désert (Wendy Ratherfight, L'Oie de Cravan, 2013). Depuis, elle poursuit sa recherche d'une vision alternative du monde. En 2017, paraît Née contente à Oraibi (Le Tripode), roman d'immersion sur les plateaux arides d'Arizona, au sein du peuple hopi. En 2019, paraît De pierre et d'os (Le Tripode), roman empreint d’écologie et de spiritualité qui nous plonge dans le destin solaire d’une jeune femme eskimo. C’est ce dernier roman qui révèle son œuvre au grand public (200 000 lecteurs à ce jour). Elle est également l’autrice de formes romanesques plus atypiques avec la nouvelle épistolaire Par-delà nos corps (Le Tripode, 2019), le long chant d’Élise sur les chemins (Le Tripode, 2021) et la fantaisie Vövöl (Le Tripode, 2023).
Presse
Avec la culture inuit, j'ai retrouvé une liberté de l'imaginaire.
Marie Richeux – Par les temps qui courent, France Culture
Un très beau roman.
Nicolas Carreau – Europe 1
Hymne à la complémentarité, à l'entraide et au partage, cette cohabitation littéraire crée un grand sentiment de paix.
Marine Landrot – Télérama
Un roman puissant et poétique : Bérengère Cournut emmène ses lecteurs dans un autre monde où les chants, les voix d'ailleurs, les tressaillements de la nature, façonnent l'humanité.
Christine Siméone – France Inter
Uqsuralik, une femme puissante, une femme vaillante, au coeur d’un roman ardent.
Macha Séry – Le Monde
On est bluffé par la science et la grâce de l’écriture de Bérengère Cournut
Marianne Payot – L'Express
De pierre et d'os parle d’une forme d’existence nomade, de communautés pour qui le partage est la règle, et le monde invisible le spirituel.
Frédérique Roussel – Libération
Un roman puissant, qui place dès les premières lignes son personnage, une adolescente, en situation de totale solitude, coupée de sa famille par une faille dans la banquise. Comment va-t-elle survivre ? Tout nous semble si juste et dépaysant qu’on a peine à croire que sa connaissance est uniquement livresque.
Anne Kiesel – Ouest-France
La romancière nous rappelle, à chaque page, que vivre consiste à se renouveler, s’adapter, se réinventer. Dans un désert de glace, la vie est ténue, aride, vaste. Elle n’est pas une offrande, mais une conquête. De pierre et d’os est un voyage initiatique. On pense, parfois, à un conte. La solitude humaine déploie des ailes immenses. La nuit est étoilée. La jeune fille devient une femme puis une vieillarde. Elle marche sur la banquise et rencontre le monde.
Marie-Laure Delorme – Le Journal du Dimanche
Un roman dont le charme puissant tient au constant dialogue entre intime et cosmique, délicatesse et démesure.
Sophie Pujas – Le Point
L’un des plus beaux et des plus surprenants romans de cette rentrée littéraire.
Nicolas Spitz – Le Dauphiné Libéré
L’écrivaine s’approche au plus près, dans une admiration respectueuse, de cet imaginaire collectif qui lie les humains et les éléments, le matériel et l’invisible, dans un grand tout commun. Et, à travers le destin épique de son héroïne, elle célèbre la force des femmes.
Véronique Rossignol – Livres Hebdo
Dans son nouveau roman, Bérengère Cournut montre l’énergie qu’une jeune fille doit déployer pour survivre à l’hiver polaire, et comment les rencontres qu’elle fait vont lui permettre de se construire. Avec poésie, précision et générosité, De pierre et d’os fait également le portrait de la société inuite, en insistant sur l’importance de l’imaginaire et de la solidarité.
Sébastien Omont – En attendant Nadeau
On comprend donc pourquoi ce roman, qui s’inscrit au confluent de la quête identitaire et du conte initiatique, a plu. Bérengère Cournut y analyse avec délicatesse la question de la transmission et de la place de la nature dans notre existence. Le cahier de photographies en conclusion du livre vient achever sa peinture d’un peuple pétri de contes et de légendes.
Alice Develey – Le Figaro
Quel beau roman ce De pierre et d’os de Bérengère Cournut. L’auteure nous prend par la main et nous installe au cœur même d’un peuple. Elle n’en est pas à son coup d’essai. Son précédent roman nous proposait une immersion chez les Amérindiens Hopis en Arizona. Ici, les régions arides d’Arizona se transforment en banquise. Direction, le Grand Nord, l’Arctique. Là où vivent les Inuits. Et le voyage n’est pas frénétique, irrespectueux. Il est tout le contraire, une intrusion poétique au pays de ces descendants des chasseurs nomades. Intrusion lente, paisible, inéluctable comme les jours qui se succèdent doucement sans qu’on sache arrêter le temps ; sans qu’on ait même envie de le faire.
Africa Gordillo – RTBF
Un roman d'aventures singulier et magnétique, hors du temps et des modes.
Alexandre Fillon – Les Échos
Avec ce récit hypnotique, bercé par de sublimes chants traditionnels inuits, Bérengère Cournut s'impose comme l'une des grandes plumes du nature writing à la française.
Léonard Desbrières – LIRE
Sensibilité et imaginaire, voilà ce dont nous avons grandement besoin aujourd’hui, voilà ce que nous offre De pierre et d’os.
Bérénice Guidat – Le 1
Avec ce récit élégant et magnétique, l’auteure nous donne à effleurer un monde sauvage mais profondément humain.
Le Studio littéraire
https://twitter.com/E1CultureMedias/status/1169168072516755456?s=20
Économe, sans effets, la langue de
Bérengère Cournut est une magie blanche, qui laisse passer l’âme d’un
peuple au travers. Une écriture possédée, à l’image des esprits, plus ou
moins farceurs, plus ou moins funestes, plus ou moins créateurs, que l’on
croise dans le livre et qui révèlent l’action de forces invisibles. La lecture
s’accompagne d’une perte de repères. Si elle fait trace, elle pourrait bien,
comme l’espère Bérengère Cournut, devenir une nouvelle “boussole pour
notre monde égaré”.https://twitter.com/E1CultureMedias/status/1169168072516755456?s=20Économe, sans effets, la langue de
Bérengère Cournut est une magie blanche, qui laisse passer l’âme d’un
peuple au travers. Une écriture possédée, à l’image des esprits, plus ou
moins farceurs, plus ou moins funestes, plus ou moins créateurs, que l’on
croise dans le livre et qui révèlent l’action de forces invisibles. La lecture
s’accompagne d’une perte de repères. Si elle fait trace, elle pourrait bien,
comme l’espère Bérengère Cournut, devenir une nouvelle “boussole pour
notre monde égaré”.On suit tout le parcours de vie d’une petite fille inuite à la dérive, séparée de ses parents par un bloc de glace. Une excellente manière de commencer à repenser le monde, et à rêver d’une vie simple en harmonie avec la nature.
Nina Martinet – Huffington Post (5 romans à lire pour lutter contre la déprime de la rentrée)
À la fois conte féministe, roman d'initiation et roman d'aventures, De pierre et d'os est une oeuvre unique. Tout dans ce livre invite au ravissement : la force littéraire, la forme avec ses chants qui résonnent, la profondeur du propos, le cahier de photographies qui accompagne le tout pour le rendre encore plus vibrant. Et c'est assez rare pour le souligner : quelle magnifique couverture ! Jetez-vous sur ce bijou !
Cyrille Falisse – Var-Matin
Situé dans un hors-temps littéraire, ce roman d’apprentissage s’inspire des chants traditionnels et de la proximité des Inuits avec les esprits. S’appuyant sur un solide matériau ethnologique, Bérengère Cournut laisse libre cours à la fiction, au plus près des sensations.
Sophie Joubert – L'Humanité
L’univers fascinant des Inuits : "Je pense que leur rapport aussi fort à la nature provient des conditions extrêmes dans lesquelles ils vivent."
Marie-Anne Georges – La Libre Belgique
De pierre et d’os est le portrait d’une femme, jeune orpheline coupée des siens par la glace disloquée, livrée seule à la nuit polaire. À peine pubère, munie d’un couteau en demi-lune et d’une peau d’ours, obligée de se faire à la fois homme-chasseur et femme, Uqsuralik va chercher à rejoindre une communauté, car seule, la survie est impossible. Roman d’apprentissage et de conquête de soi, il nous touche au plus près, ramène à la surface des éléments oubliés : les cycles de la lune et de la nature, le respect du monde vivant, la bonne intelligence d’une économie qui rend grâce aux animaux nourriciers, aux ancêtres et aux mystères qui nous gouvernent.
Sophie Creuz – L'Écho
Économe, sans effets, la langue de Bérengère Cournut est une magie blanche, qui laisse passer l’âme d’un peuple au travers. Une écriture possédée, à l’image des esprits, plus ou moins farceurs, plus ou moins funestes, plus ou moins créateurs, que l’on croise dans le livre et qui révèlent l’action de forces invisibles. La lecture s’accompagne d’une perte de repères. Si elle fait trace, elle pourrait bien, comme l’espère Bérengère Cournut, devenir une nouvelle “boussole pour notre monde égaré”.
Ysaline Parisis – Focus Vif
Un voyage ethnologique et poétique dans un univers polaire au charme magnétique !
Sociolitté
Ce roman est une formidable odyssée, remarquablement documentée qui, d’une langue poétique et douce, invite le lecteur à plonger dans la culture millénaire d’un peuple respectueux d’une nature qui les malmène et les sauve.
Marie-Anne Sburlino – Unidivers
A la fois lumineuse et mystérieuse, réceptive aux extases du chamanisme, Uqsuralik est l’héroïne inoubliable de ce roman d’aventures doublé d’un roman d’initiation poétique, à l’écriture riche et sensible, ingrédient essentiel de notre fascination pour cette histoire originale pleine d’humanité.
Aline Sirba – Onlalu
Quel voyage a dû faire l’âme de l’autrice pour traverser ce monde et nous en ramener l’essence pure !
Aurélie – Unwalkers
Bérengère Cournut est l’une des plus intenses et belles romancières de notre temps.
Le Petit Bulletin
C'est de la magie qui sort de ce livre.
Librairie Obliques – Auxerre
Ce livre me touche, d'autant plus qu'il défend ou décrit une vie humaine avant tout. Il n'y a rien d'autre que l'humain au cœur des textes de Bérengère. C'est un travail exceptionnel et profondément sincère.
Fantine – Librairie La Lison – Lille
C'est une merveille.
Aurélie Barlet – Librairie La Pléiade – Cagnes-sur-Mer
Une histoire qui fait palpiter au plus profond des carcasses, un roman poétique, envoûtant, grandiose. De ceux qui bouleversent un monde, qui donnent envie au petit homme de prendre la main de sa maman en lecture et de lui dire "loin homme torche bisous skimo Nils aussi". Bref, Cournut est une écrivaine chamanique qui fait palpiter nos sens avec cette odyssée Inuit magnifiquement animiste. Du grand art.
Fanny Nowak – Librairie Le Grenier – Dinan
J'ai littéralement "vécu" l'histoire d'Uqsularik. J'ai aimé découvrir les us et coutumes inuits si éloignés des nôtres mais tellement authentiques et "fondus" dans la nature. Uqsuralik est un beau personnage (parmi tant d'autres), une femme forte et courageuse qui sait s'imposer en douceur dans ce monde âpre et violent. De plus le style de Bérengère [...] sert totalement le propos : la vie en pays inuit ne s'embarrasse pas de superflu ni dans les relations humaines, ni dans le quotidien, tout a un sens. Y compris l'art.
Michèle Béal – Chapitre 8 – Strasbourg
Magnifique !
Nicolas Trigeassou – Librairie Le Square – Lyon 17e
J'ai été sensible à la puissance humaine qui se dégage de l'ensemble des personnages. Bérengère, au travers de l'histoire et des personnages, fait accéder le roman à quelque chose de plus fort de plus urgent, on est dans l'incarnation d'un truc qui nous dépasse. Malgré le dénuement extrême, la vie est partout présente entre le monde et ses habitants. Ce roman est une belle réussite.
Nicolas Vivès – Librairie Ombres blanches – Toulouse
Je suis complètement conquise par ce texte très poétique et très "prenant" d'un point de vue romanesque.
Stéphanie – Librairie Le Furet du Nord – Lille
Magnifique. [De pierre et d'os] est tout à la fois : féministe, anthropologique et écologique. Il est avant tout terriblement littéraire. Ce portrait de femme apporte une dimension universelle à des combats actuels.
Marie Cossart – Librairie Les Parages – Paris 11e
Quelle merveille !
Sophia Garayoa – Librairie Sétoise – Sètes
Chasse, pêche, récit d'apprentissage et fantastique cosmogonie : foncez sur ce formidable ethno-roman !
Marie Morel – Librairie Le Comptoir des Mots – Paris 20e
C'est sensible et beau, pudique mais aussi incroyablement fort.
Camille Fauvel – Fnac – Dinard
Un très beau texte, avec un vrai souffle et un univers fascinant.
Elsa – Librairie Le Bal des Ardents – Lyon 1er
J'ai été enchantée ! J'avais beaucoup aimé Née contente à Oraibi, j'ai adoré De pierre et d'os !
Manon Tézier – Librairie Masséna – Nice
C'est très beau et passionnant.
Annick – Librairie Gibert – Évreux
La puissance des esprits, l’entraide, la féminité et la maternité. La vengeance par le chant, la joie d’un festin après des jours de pêche infructueuse : tout cela est sublimé par l’écriture douce, poétique et tout à la fois sèche et dure de Bérengère Cournut.
Laura Mouveaux – Librairie La Soupe de l'Espace – Hyères
De pierre et d'os est plein de poésie.
Ève Bohu – Librairie Chimère – Châtillon
Évocation magistrale et magique d'un monde inconnu. Puissamment documenté, le récit de Bérengère Cournut n'en est pas moins poétique. De pierre et d'os nous plonge dans un "paradis blanc" à l'attraction magnétique. Le livre de la rentrée au Tripode : une superbe découverte à l'atmosphère onirique envoûtante.
Sébastien Thomas – Fnac – Cergy
C'est beau comme un conte, immense comme la banquise, ça vous suit partout comme un animal ami ou comme une légende personnelle, ça vous emporte comme un poème.
Valérie Barbe – Librairie Au brouillon de culture – Caen
Une belle surprise.
David Goulois – Cultura – Chambray-les-Tours
J'ai été prise dès les premières lignes, emportée tel un morse au bout d'un harpon, jusqu'au tout dernier chant, magnifique !
Marianne – Librairie Les Lisières – Roubaix
Magnifique.
Élodie Maurin – Librairie De fil en page – Château-Arnoux-Saint-Auban
De pierre et d'os m'a scotchée !
Marlène – Librairie La Ruelle – Digne-les-Bains
Une écriture très soignée et limpide, originale, belle portée politique sur la fratrie, les communs et les femmes...
Roger Coste – Librairie Torcatis – Perpignan
Un récit poignant, une magnifique aventure !
Librairie Le Grenier d’Abondance – Salon-de-Provence
Un beau texte qui nous fait découvrir un univers jamais abordé dans la littérature française, avec une langue fluide et poétique.
Arnaud Page – Fnac – Angers
Je suis sous le charme.
Gaëlle – Librairie Cook & Book – Bruxelles
C’est un livre doux et puissant. Il se tient avec grâce sur un fil fragile, quelque part entre le conte, le récit ethnographique et la poésie. Avec De pierre et d’os, Bérengère Cournut confirme la singularité de son chemin d’écriture. […] Son écriture dépouillée, les respirations poétiques qui ponctuent le récit et la sagesse dont chaque page est empreinte font de De pierre et d’os un roman envoûtant, profondément humaniste. Uqsuralik est une héroïne que vous n’oublierez pas !
Anouk – Librairie Point Virgule – Namur
Une lecture lumineuse.
Nicolas Legrand – Librairie Graffiti – Castres
L’univers est total et cohérent, l’enchainement du récit a du rythme et du souffle. J’ai été très touchée par ce personnage.
Claire – Librairie Plùm – Lautrec
Un roman presque documentaire, divinement écrit.
Patrice Vannier – Librairie Les Beaux Titres - Levallois-Perret
Tout est puissant dans ce livre.
Natacha Siloume – Librairie Les Sandales d'Empédocle - Besançon
Plus qu’un voyage, c’est une épopée initiatique et ethnologique à travers les étendues polaires de ce continent qu’on voudrait voir comme un « paradis blanc », lors du « grand jour qui dure toujours », quand en été le soleil ne se couche jamais. Mais si Bérengère Cournut défie les éléments, elle a écrit ce roman à l’aide des documents du Muséum d’histoire naturelle. Et son récit scientifique est nimbé d’une poésie insoupçonnée. La quête intemporelle d’Uqsuralik sur les sentiers de sa féminité, questionne notre rapport à la nature, notre fragilité au monde, notre humanité. Une très belle rencontre de cette nouvelle rentrée.
Sébastien Thomas-Calleja – À voir à lire
Éblouissant. Parvenir à épouser la destinée d'une femme inuite avec cette puissance évocatrice est un miracle.
Le Passeur critique
Des visions et leurs chants, les saisons et leur fuite, les errances d’une femme dans la société inuite dont Bérengère Cournut capture enchantements, pensées magiques et l’âpreté. Sous ses allures de conte, sous une plume où le merveilleux et le tragique sont toujours à hauteur de femme, De pierre et d’os dessine un récit d’initiation où poésie et prise de langue offrent une autre appréhension du monde.
La Viduité
Ce livre est un bijou, chaud et précieux. Incontournable. Une richesse littéraire. Une richesse humaine. Une richesse culturelle.
Au fil des livres – chronique complète
Bercée par les chants poétiques qui entrecoupent le récit, je me suis laissée emporter dans cet univers inconnu, terrible et merveilleux !
Evelyne – Librairie Je Me Souviens – Fontenay-le-Fleury