LE TRIPODE

Le Petit roi

Mathieu Belezi


Abandonné par sa mère, un enfant se retrouve confié à son vieux grand-père, un paysan vivant seul dans une petite ferme provençale. Depuis cette scène, si simple, Mathieu Belezi réussit à dire la vérité d’un monde. L’indifférence répétée des saisons, la cruauté, l’absurdité des destins, la violence des désirs, le besoin d’amour, tout est là et brûle dans ce bref roman, dont la beauté et la puissance font écho à celles d’Attaquer la terre et le soleil, Prix littéraire du Monde 2022.
 
Roman sidérant d’une centaine de pages, Le Petit roi se révèle un chef-d’œuvre. À l’instar d’œuvres comme Jeux interdits, Sa majesté des mouches ou encore Les 400 coups, il réussit à dire avec force le vertige de l’enfance, loin de toute mièvrerie. La musicalité et la fulgurance des phrases que déploie ce texte nous font vivre de façon bouleversante l’attente et la désillusion d’un enfant qui n’aspire qu’à être aimé.
 
Publié une première fois en 1998, et inexplicablement oublié depuis, Le Petit roi est le premier roman de Mathieu Belezi. Il réaffirme, si cela était encore nécessaire, l’importance de cet écrivain, dont le Tripode entreprend à partir de 2023 la réédition de toute l’œuvre.

 

Illustration de couverture : Martin Zanollo

L’Auteur

« Prix littéraire Le Monde 2022 et Prix du Livre Inter 2023 »

Mathieu Belezi a enseigné en Louisiane (États-Unis), et beaucoup voyagé. Il a vécu au Mexique, au Népal, en Inde, et dans les îles grecques et italiennes. Il partage désormais sa vie entre la France et l'Italie.
Au Tripode, il est l'auteur de Attaquer la terre et le soleil (Prix littéraire Le Monde et Prix du Livre Inter), Le Petit roi, Moi, le glorieux, Le Temps des crocodiles.

Presse

Baigné dans des paysages aux couleurs d’aquarelle, soufflé par le mistral et rythmé par les rituels saisonniers : moisson, feu de la Saint-Jean, tue cochon, le roman de Mathieu Belezi est strident et bouleversant comme le cri d’un orphelin dans la nuit. 
Jérôme Garcin – L'Obs
 
L'histoire d'un enfant abandonné par sa mère et confié à son grand-père, un paysan taiseux et solitaire qui va lui apprendre les saisons, les animaux, la vie avec ses tragédies et ses désirs. Un livre coup de poing.
Alexandra Schwartzbrod - Libération 
 

Le Petit roi est une réussite indéniable, en partie parce qu’il attaque la question la plus difficile de la fiction : comment parler de l’enfance, et comment faire parler les enfants ? Les tentatives pour leur donner une voix m’ont souvent semblé vouées à l’échec, parce que les enfants ne sont jamais aussi naïfs que les écrivains veulent bien le croire. On finit toujours par voir le marionnettiste, l’auteur qui joue à « faire l’enfant ». Ici, Belezi trouve la bonne distance, le ton juste, en écrivant à la première personne mais sans faire semblant : l’histoire est servie par une langue très belle, très travaillée.
David Rochefort – NRF

Mathieu Belezi dit juste : avec précision et pudeur à la fois, il suscite émotion et effroi devant les vertiges de l’enfance.
Claudine Bergeron – Les Notes
 
Le Petit roi est un parfait échantillon du ton singulier de l'auteur, fruit d'une langue âpre, poétique, puissante, colérique aussi. 
Marianne Payot – L'Express
 
À la fois minérale et sensuelle, ciselée et lyrique, pudique et vibrante, ardente et à l'os, l'écriture de Mathieu Belezi marie les contrastes, dans une sobriété qui ajoute à la violence des émotions du garçon. 
Anne Pitteloud – Le Courrier 
 
L'écriture est en feu et ce livre nous enflamme à chaque ligne. 
Lucile Poulain – SousCouverture, RTBF

L’écrivain raconte à la première personne l’adolescence cruelle d’un garçon mal-aimé qui fait tout pour « oublier qui il est ». Il peut compter sur Papé, son grand-père, qui comble « jour après jour le vide laissé par ceux qui l’oublient » : ses parents. Malgré cela, Mathieu ne peut « éviter les larmes qu’en basculant dans la cruauté ». Alors il s’y enfonce, commence par donner des coups de pied au chat de la ferme, puis fait brûler une poule, piège les poussins, frappe les lapins avant de s’attaquer à Parrot, le souffre-douleur de l’école.
Toute cette violence le « venge de la désinvolture du monde ».
Esther Serrajordia – La Croix

Autant dire que les lecteurs n’en sortent pas indemnes, sauf s’ils s’abritent sous la description des paysages de la Haute-Provence, aussi majestueux que vertigineux. Poétiquement féroce. 
Anne-Marie Mitchell – La Marseillaise
 
Mathieu Belezi, 69 ans, auteur d'une vingtaine de livres, est un grand écrivain. Ça ne se savait pas assez. En voici la preuve avec Le Petit roi.
La Provence
 
Il raconte, dans une prose qui mêle pudeur et éclat, l'arrivée d'un enfant chez son grand-père paysan. (...) Tout est insupportable ; rien ne l'est. C'est très juste et très beau. 
Gladys Marivat - Lire
 
Parfois, il y a des petits miracles. 
Marie La Fonta – Cosmopolitan
 
Un livre puissant dont on sent encore la morsure longtemps après l'avoir refermé.
Nicolas Espitalier - Sud Ouest
 
Le Tripode s'engage donc sur le long terme avec, pour commencer, la réédition du premier roman de Belezi, Le Petit roi, qui dit la tristesse d'un abandon maternel et une vie toute neuve confiée à un grand-père, paysan solitaire. Une oeuvre âpre. 
Muriel Steinmetz, L'Humanité
 
Face à une représentation tout aussi authentique qu’effrayante de la haine infantile, personne ne ressortira intact de cette lecture.
Océane Slegers - Karoo

Mathieu Belezi pousse avec Le Petit roi un grand cri dont on peine à se remettre. […] Son livre fait l’effet d’une brûlure.
Emma Poesy – Maze

Ce petit livre si fort, si intense, écrit au scalpel, paru pour la première fois en 1998, était épuisé quand l’éditeur, Frédéric Martin, l’a découvert, avec d’autres, eux aussi oubliés. Il a alors décidé de rééditer l’ensemble de l’œuvre. Attendez-vous à découvrir d’autres textes sublimes.
Chris Bourgue – Zébuline
 
Cet écrivain vous prend par le collet et sans ménagement pour ne plus vous lâcher pendant les 128 pages du Petit roi, c'est à la fois doux et pas des plus reposants.  
Eric Attic – Benzine

La magnifique plume de Belezi a la fluidité de l’écriture cinématographique. Elle restitue avec une grande finesse la beauté de la terre, vue à travers le prisme des saisons, ainsi que le visage abîmé d’une enfance meurtrie par la perte de l’innocence.
Christiane Sistac – Ici Beyrouth

Mathieu Belezi fait trembler : d'émotions, de beauté, de frissons. Pas une émotion faite de bons sentiments, jamais, mais celle qui ose dire la violence de l'enfance, son désir de chair, de passion, de mort et de puissance. Il ose le cru, le sang et l'orage, mêlés à la beauté simple des étoiles et des feuilles nouvelles. Il y a chez cet auteur une plume que beaucoup pourraient lui envier, singulière, ardente, de celle qui vous fait regretter de tourner la dernière page mais vous donne le bonheur de vous accompagner longtemps.
Librairie Mollat – Bordeaux
 
Ce texte est tout aussi puissant qu’Attaquer la terre et le soleil. Le sujet m’a plus touchée encore. Ce petit bonhomme, empli d’une violence dont il a hérité et qu’il cherche désespérément à expulser, est très émouvant. Et cette langue est bouleversante.
Camille – Librairie Le Merle moqueur – Paris 20e
 

Un texte bouleversant.
Librairie Longtemps – Paris 19e

C'est un roman touchant et qui grâce à la magnifique plume de Mathieu Belezi, nous permet de découvrir tous les sentiments d'une enfance malmenée. L'auteur décrit avec justesse  les effets néfastes du manque d'un amour maternel et la douleur ressentie par cet enfant qui, ravagé par la haine, s'enferme dans le silence, la solitude et la cruauté
Librairie L'Autre librairie – Angoulême
 

Voilà un livre inoubliable. Fort. Beau. Émouvant.
François – Librairie À l'entour – Nasbinals

La beauté de l'écriture, dépouillée, épurée, et pourtant si évocatrice. Je pense que vous avez là un chef-d'œuvre et c'est superbe que vous le rééditiez.
Thibault – Librairie Le Pincerais – Poissy

 

Un livre incroyable !

Sarah – Librairie Filigranes – Bruxelles

 

J’ai lu d’une seule traite Le Petit roi, et suis bouleversée ce matin encore. Quelle écriture, quelle puissance. Ce livre est magnifique ! 

Hélène – Librairie La Machine à lire – Bordeaux

 

J’ai beaucoup aimé. Je trouve que ce roman décrit avec beaucoup de justesse le drame d’une enfance et la palette de sentiments qui en découle. Il dépeint très bien un sentiment utile : l’ennui. Cet ennui qui a accompagné des générations d’enfants mais peut-être abandonné, hélas, les toutes dernières. 

Très beau. Sera vivement conseillé. 

Carole – Librairie du Bon marché – Paris 7e

 

J’ai beaucoup aimé l’écriture et la manière de traiter le sujet.

Nathalie – Fnac Forum – Paris 1er

 

J’ai adoré ce livre !

Brigitte – Librairie La Vagabonde – Tours

 

J’ai beaucoup aimé ce récit avec cette violence latente du narrateur qui ne sait au final, pas exprimer sa tristesse et répète sur les animaux et ses camarades, les actes de violence de ses parents. J’ai adoré le style soigné, les descriptions de la nature, de cet environnement calme, champêtre et agricole ; vivement contrasté avec ces actes violents et barbares de ce jeune garçon. Mathieu Belezi nous happe, nous déconcerte avec ce récit d’une douce cruauté.

Julian – Librairie Privat – Toulouse 

 

Mathieu a 12 ans. On vient de le déposer à la ferme de son Papé. Il sait qu'il y restera pour deux ou trois ans au moins. La colère gronde en lui, la peur aussi.

Lui, le citadin, va devoir se faire à une nouvelle vie. Mauvais élève à dessein, persécuteur des animaux et des plus faibles, il cherche à punir et à se punir, ressassant sans cesse les scènes de violence entre ses parents.

L'éveil du désir, le quotidien à la ferme et surtout la douceur taiseuse de son Papé constituent un baume pour le cœur de cet enfant devenant grand abruptement. Mais la brutalité de l'existence se tient toujours en embuscade...

Dans une langue d'une richesse folle, Mathieu Belezi nous propose un court roman qui va droit au cœur et réveille en chacun de nous des tourments enfouis.

Aurélie – Librairie La Pléiade – Cagnes-sur-Mer

 

Mathieu Belezi laisse libre cours à la puissance de sa plume pour mettre en place un personnage torturé qui n’en a pas conscience, en proie à une colère sourde qui tait son nom et qui voit se déployer en lui une violence difficile à canaliser. Sur un rythme presque inquiétant – qui n’est pas sans rappeler celui de Pascal Garnier – et dans un style dont Simon Johannin s’est peut-être nourri, Mathieu Belezi nous garde dans son sillage par sa description de sentiments intenses, complexes et dont la source est principalement identifiée par ce qui est tu. Un texte intense, qui marque, et qui – republié un peu après Attaquer la terre et le soleil – prouve que Mathieu Belezi devrait avoir une place bien plus centrale que celle qu’on lui a accordé jusqu’à maintenant.

Cyrille – Librairie L’Arbre du voyageur – Paris 5e

 

Un très beau texte, tout en sensibilité.

Sandie – Librairie Le Tracteur savant – Saint-Antonin-Noble-Val

 

Un roman très fort.

Morgane – Librairie L’Oiseau Rare – Strasbourg 

 

Un grand texte sur l’enfance, sans concession, vrai et dur. En peu de mots, qui touchent juste, Belezi affronte les traumas de l’enfance. Pas de bons parents, pas de bons enfants, ce sont bien nos catastrophes intimes qui nous construisent.

Sébastien – Gibert Joseph – Paris 6e

 

Le Petit roi est une bombe ! C'est très – très – fort. C'est d'ailleurs une magie assez impressionnante de faire tenir un monde aussi chargé dans si peu de mots.

Benjamin – Librairie La Carline – Forcalquier

 

J'ai beaucoup aimé Le Petit roi, que je trouve beaucoup plus violent que Attaquer la terre et le soleil.

Il y a moins de distance par rapport au texte. Ça raconte une histoire du quotidien plus proche de nous d'une certaine façon. 

Thomas – Cultura Plan de campagne – Cabriès

 

J'ai lu Le Petit roi et quel plaisir de retrouver l'écriture de Mathieu Belezi. Un roman cruel d'une enfance en mal d'amour, trahie par les adultes. Un grand roman, dense par son contenu, malgré sa brièveté.

Isabelle – Librairie Autres rivages – Buchy

 

Touchée en plein cœur par Le Petit roi.

Un livre à vif, d’une poésie brute et d’une beauté époustouflante. C’est comme une douleur lancinante.

On y revient encore et encore. On le lit une, deux et puis trois fois. 

Le roman d’un enfant abandonné par sa mère, vivant avec son grand-père à la ferme, dans un coin de Provence. 

Un récit qui dit toute la brutalité du monde, qui épouse la fureur des désirs, des sentiments et ce besoin d’amour frénétique, lové au creux de nous. Et aussi l’incandescence des mots.

Une gifle ! L’écriture de Mathieu Belezi est un joyau.

Valérie – Librairie L’Arbre à mots – Rochefort

 

De quel royaume ce petit roi est-il le souverain ? 

Et quelle couronne ceint son front ?

Sur ses terres que le vent érode au plus chaud de l'été, il règne, despote adolescent, depuis son trône de chagrin. 

Lui, l'enfant encore, le petit prince sacrifié sur l'autel des errances adultes, dispense sa douleur sur plus faible que lui, bêtes et hommes, brutal. 

Dans ce royaume là, alangui à l'heure des foins à peine coupés, saturé du vol des martinets ou blême au matin des premières neiges, le petit roi trébuche sur la violence d'une enfance écorchée.

Dans la grâce d'une nature omniprésente, c'est un petit d'homme meurtri qui s'accroche comme il peut à une existence déjà trop dense.

La langue de Mathieu Belezi, douloureusement belle, s'arroge le droit de sublimer le décor pour mieux y enraciner les fondations d'un château de cartes dont le roi est un enfant. Petit et déjà trop grand pour l'échiquier sur lequel il avance comme un pion ignorant que les règles du jeu ont été truquées. 

Claire – Librairie Le Marque-page – Quintin

 

Un texte découvert et adoré.

Librairie Maupetit – Marseille

 

J’ai lu et, après Attaquer la terre et le soleil, j’ai encore une fois beaucoup aimé Mathieu Belezi et son Petit roi.

Nolwenn – Librairie Vauban – Marseille

 

Ce livre est une merveille. Rude et violent mais aussi tendre et faussement naïf. Vous serez bousculé dès les premiers mots mais impossible de ne pas craquer pour ces personnages ciselés mais rugueux. C’est un livre incontournable de ce début d’année. 

Librairie Libellune – Redon

 

Dans ce roman bouleversant, Mathieu Belezi parle de l’enfance difficile de Mathieu, garçon abandonné par sa mère. C’est un très beau roman, dramatique, sur la solitude et l’amour. L’amour d’un grand-père et la solitude due à l’absence des parents. (…) J’ai adoré Le Petit roi. C’est très fort.

Mathieu – Cultura – Bègles

 

Encore un grand texte de Mathieu Belezi !

Méline – Librairie M'lire – Laval

 

C'est juste époustouflant. Oui, il peut vraiment se passer quelque chose autour de ce roman et c'était une idée géniale de lui donner une nouvelle vie. 

Christophe – Librairie L’Atelier – Paris 20e

 

Il y a des semaines qui commencent par de grands coups de cœur. De ceux qui doivent être lancés entre les êtres pour les enjoindre au réveil. Éblouir... Car Le Petit roi de Mathieu Belezi est un soleil. Il éclaire et il brûle. De l’intérieur. Comme le jeune Mathieu. Je commencerai par l’écriture. Une puissance d’évocation incroyable. Des sensations qui affleurent à la lecture ; c’est quelque chose de magique. Une odeur de tabac. Un doigt qui passe sur une toile cirée. Voilà Mathieu qui jaillit de la nuit parisienne dans l’écrin de verdure provençale. Cabossé de l’intérieur. Il est laissé par sa mère entre les mains de son « papé ». Cet homme-là est un roc, un orme. Il est travail et bienveillance…. Mais comment s’attacher à un enfant cruel envers les animaux ? Violent avec ses camarades. Et en même temps. Comment ne pas comprendre… L’enfance en roue libre. Des parents lancés dans une danse autodestructrice.

Ce roman est un feu brûlant. Un cri. Ce livre est vivant. Un diamant brut comme Le Tripode en publie régulièrement. Du Démon de la Colline aux Loups en passant par L’Homme qui savait la langue des serpents… Je pourrai citer bien d’autres titres… Jetez y un œil. Le texte ne vous quittera plus ! Il vous hantera comme il me tient au cœur depuis trois jours. 

Guillaume – Librairie L’Aire de Broca – Pont-l'Abbé

 

Mathieu Belezi a une écriture qui percute. Chaque fois, il me surprend et me touche. Dans Le Petit roi, cette noirceur, cette violence de l’enfant, son incompréhension face à la vie sont dérangeantes. Mais au-delà de ça, c’est le malaise qui se dégage. Et tout l’amour de l’enfant à son grand-père.

Ève – Librairie Chimère – Châtillon

 

Je viens de quitter Le Petit roi, une royauté inattendue, cruelle... et c'est comme si revenait François, celui de Pialat, l'enfant de L'Enfance nue qui va d'abandon en abandon jusqu'à rencontrer Mémère, jusqu'à trouver un répit, un bout d'affection à ronger enfin ! Là aussi la mort survient trop tôt, elle dénude l'enfant des liens qui pouvaient l'arracher à la solitude, à l'incompréhension, à la douleur, à la violence... Le texte de Belezi fait resurgir magnifiquement et durement cette violence, lentement elle prend possession de Mathieu jusqu'à l'embrasement final, clôturant le récit, tabula rasa laissant espérer une vie nouvelle ? J'aime cette fin brutale, car si au milieu du récit il y a tout de même des îlots de paix, la cabane, les prés... Au fond ce sont des faux-semblants, des consolations en trompe-l'œil avec lesquelles la « sauvagerie » de l'enfance, son intransigeance, refusent de s'accommoder, de composer, nous sentons bien qu'un feu dévorant couve, menaçant de tout balayer de tout détruire, et peut-être sommes-nous soulagés, comme si le bûcher valait mieux mille fois mieux que le silence...

Frédéric – Librairie Mot à mot – Pertuis

 

Une merveille. Dur mais une écriture vraiment belle. 

Aude – Librairie Le Chameau sauvage – Toulouse

 

Wow ! En cent pages d’une force incroyable, Mathieu Belezi dit tout de la quête de tendresse et de l’implacable violence d’un gamin de douze ans. On en reste le souffle coupé. 

Christophe – Librairie L’Atelier – Paris 20e

 

Encore une réussite pour moi ! 

Maryline – Librairie Le Comptoir – Santiago du Chili

 

Dévoré entre les dernières heures du jours et celle des premières lueurs.

J’en suis retourné, c’est un texte magnifique.

Mathieu Belezi est un orfèvre !

Florian – Librairie La Petite égypte – Paris 2e

 

Une lecture incandescente, il y autant de violence que de beauté dans ce texte, certains passages sont si puissants qu'on a envie de les relire, encore et encore pour s'en imprégner. 

Je n'avais pas encore eu l'occasion de lire Mathieu Belezi, eh bien c'est chose faite. Et une chose est sûre : j'ai envie d'en lire d'autres. Merci à lui.

Perrine – Librairie Tiers temps – Aubenas

 

La preuve est faite que Mathieu Belezi, qui nous avait déjà scotché avec Attaquer la terre et le soleil, dispose d’un incroyable talent qu’il vous faut découvrir, faire découvrir et célébrer ! Son premier roman, ici réédité chez Le Tripode, est une nouvelle manifestation de sa sensibilité, de son sens du mot juste et d’une poésie tantôt sombre, tantôt lumineuse, qui jaillit dans chacune de ses phrases.

Guillaume – Librairie Charlemagne – Toulon 

 

Je suis plongée en ce moment dans la lecture du titre de Mathieu BELEZI Le Petit roi ! Quelle écriture ! Quel vocabulaire ! Quel bonheur de lecture !

Marie Claire – Librairie Page 10/2 – Vendôme

 

Avec une plume écorchée et emplit de poésie, l'auteur nous transporte dans un récit-fleuve qui happe. Il happe par la mélodie des mots et par la colère de ce jeune garçon abandonné. Il happe car le lecteur peut sentir le rôle réparateur de ce texte pour l'auteur.

Charlène – Librairie Vents de Terre – Les Rousses

 

Une histoire bouleversante portée par une écriture sublime, brute et douce à la fois, si vivante qu’elle fait appel à nos sens. Mathieu Belezi est décidément un grand écrivain !

Librairie L’Oiseau Rare – Strasbourg

 

Comment en sortir indemne ? Coup de cœur absolu pour ce roman dont la poésie est si cruelle, déchirante, injuste et à la fois si belle. Le cœur est arraché, malmené, pris dans un conflit qu’il va forcément perdre. Cette lecture fait mal, dérange, mais nous apprend tout de l’être humain, dans ses chemins les plus sombres, et de l’enfance qui court si vite…

Librairie Torcatis – Perpignan

 

Je viens de finir Le Petit roi de Mathieu Belezi, et j'ai adoré. Sans surprise – je pense que je suis en train de devenir fan de cet auteur – ce roman est mon dernier coup de cœur !

Pierre – Fnac Saint Lazare – Paris 9e

 

Chef-d'œuvre !

Gibert Quinze bis – Paris 2e


Ce texte ne pourra pas vous laisser indifférent. La vérité d’une grande misère sociale, la cruauté humaine. Un enfant marqué par le destin.
Librairie La Page qui tourne – Verson

 

Quelle claque !

Quentin Roumeau – Librairie Les Immortels – Paris 6e

 

Lire Le Petit roi d’un seul souffle. Quel immense texte, quelle beauté, vraiment. Mathieu Belezi sait raconter les histoires, les rendre vivantes, et râpeuses à la fois. Au fil de la lecture, le cœur se fait lourd et dense, l’air se raréfie, il n’y a plus que Mathieu qui compte.

Coralie Sécher – Librairie Coiffard – Nantes 

 

Ce livre est une merveille, rude et violent mais aussi tendre et faussement naïf.

Vous serez bousculé dès les premiers mots mais impossible de ne pas craquer pour ces personnages ciselés mais rugueux.

C'est un livre incontournable de ce début d'année.

Librairie Libellune – Redon

 

Ce Petit roi est un roman bouleversant. Un texte comme un tapis de braises, ardent d'intensité, ciselé de poésie, sur les mondes chaotiques de l'enfance. Beau et brûlant de grâce, de solitudes arpentées.

Mathieu – Decitre – Grenoble

 

Livre reçu, aimé et commandé aussitôt pour nos lecteurs !

Mélanie – Librairie Zadig – Berlin

 

Premier roman de Mathieu Belezi d’une grande puissance littéraire, à la fois beau et glaçant.

Mallorie – Cultura Valence

 

Quand la rage de l’abandon se mêle à la quête d’amour ! L’histoire aussi noire que somptueuse de cet enfant éclaire l’œuvre de Mathieu Belezi.

Nicolas – Gibert Joseph – Marseille

J'ai dévoré ce court volume que j'ai trouvé à la fois magnifique et absolument glaçant. Servi par une écriture pointue au sens propre du terme, ce bout d'une enfance qui se détruit m'a bouleversée. Un livre dont je suis ressortie avec un nouveau pli sur le cœur.
Agnès – Librairie La Bouilloire aux Livres – Dunkerque

Un roman à la fois sombre et lumineux, où Mathieu Belezi navigue entre les paysages flamboyants de la Provence et la violence permanente qui semble habiter le jeune narrateur. Comment grandir et se construire quand son monde n'a aucun repère, aucune barrière, et surtout, n'a pas l'amour que ses parents devraient lui témoigner ?

Victor – Librairie Cajelice – Perpignan

 

L'écriture belle, épurée, souvent poétique, est au service d'une récit puissant et bouleversant, à lire absolument !

Anne – Librairie La Boîte à Livres – Tours

 

Mathieu Belezi livre un roman à la fois effroyable et beau où chaque paragraphe peut nous faire basculer. Jonglant autant avec le récit qu'avec les émotions du lecteur, il écrit ici le douloureux destin d'un enfant abandonné.
Librairie Au détour des mots – Tournon-sur-Rhône

Un livre brut sans concession, écrit avec une vraie plume qui soigne la forme. [...] La lumière, la pudeur et la tendresse côtoient l'obscurité, la violence et la cruauté ; restent la beauté et la poésie du texte de Belezi. Allez, on prend le risque d'être bouleversés !
Sophie – Librairie Le Vend Délire – Capbreton

Entre ombre et lumière, les personnages pétris de tendresse et de souffrance dévoilent des existences humbles et fragiles dont on entrevoit toute la violence. Ce roman réédité est bouleversant.
La Librairie du Quai – Indre

Dès ce premier roman, ici réédité, l'auteur nous plonge, avec son si singulier talent, dans le tragique et la beauté d'une humble existence. Cette vie en devenir, et déjà violemment chahutée, est bouleversante. Bon sang, quelle écriture !
Pauline – Librairie Mots et Cie – Carcassonne

Un roman qui nous brûle les doigts, à la fois cru et fort, mais aussi lumineux, poétique et doux.
Mathilda – Librairie des Canuts – Lyon 4e

 

Le Petit roi est un beau livre puissant et divinement bien écrit sur l'abandon d'un enfant confié à son grand-père paysan en Provence. Un roman choc, violent et bouleversant.
Agnès – La Nouvelle Librairie Sétoise – Sète

 

Roman bref et sidérant, d'une langue magnifique.
Librairie de Paris – Saint-Étienne

 

Un sublime texte initiatique.
Librairie Tonnet – Pau

 

Une écriture rude et abrupte, un récit lumineux [...] marqué autant par l'amour que la violence. Un grand roman !
Librairie Le Vrai Lieu – Gradignan

 

Le narrateur de ce roman a douze ans. Il est confié par sa mère à son grand-père, paysant en Provence. Il s'accomode de sa nouvelle vie à la campagne (pas le choix de toute façon...). Malgré l'amour qui le lie ...
Librairie La Mandragore – Chalon-sur-Saône

 

Un petit garçon qui n'est pas un prince mais bien un roi, un vieil homme un peu bourru pour l'élever, le fil des jours et des saisons rythmant l'apprentissage de la vie. Mais la vie, ça s'apprend...
Caroline – La Librairie des Fables – Château-Thierry

 

À travers cet enfant qui arrive à la campagne, Mathieu Belezi raconte une histoire de la violence et de sa transmission. Une lecture dure mais nécessaire !
Bertrand – Librairie Le Biglemoi – Lille

 

Un roman âpre, puissant et poétique pour nous dire les affres d'une enfance pétrie de culpabilité, d'incompréhensions, et de recherche d'amour.
Claire – Librairie Le Bateau Livre – Lille

 

Son écriture incisive touche à l’estomac, au cœur aussi. Mathieu Belezi, dans un style vibrant, unique, raconte sans détour notre sauvagerie, nos espoirs et nos fragilités.
Librairie Le Bois Jaune – Montastruc-la-Conseillère

 

La vie, ça s’apprend comment quand on est un roi sans couronne, un prince sans royaume, un enfant sans maman ? […] Un roman comme un poème à cœur ouvert pour un enfant qui attend que sa mère revienne le prendre dans ses bras. Un joyau brut !
Caroline – La Librairie des Fables –
Château-Thierry

Exercice difficile, l’auteur parvient, dans une langue ciselée, à dire l’impuissance, la colère, la cruauté même, de l’enfance confrontée à la solitude, au manque d’amour. Un roman court et dur qui cogne, déstabilise et émeut.
Perrine – Librairie La Lison – Lille

Un roman intimiste qui relate parfaitement le tiraillement entre la douceur de son aïeul et de la Provence, et la souffrance provoquée par ce déchirement. Une écriture magnifique, épurée et puissante.
Sylvain – Librairie L’Indépendante – Saint-Gaudens

Sous la plume de Mathieu Belezi, la cruauté du monde serait presque belle si elle ne faisait pas pleurer l’enfant qui est en nous. 
Librairie La Petite Ourcq – Paris 19e

Entrer dans l’écriture de Mathieu Belezi, c’est comme un accès direct au cœur des hommes, à ses folies, à ses abysses, à ses lueurs parfois.
Sandrine – Librairie Lignes d’Horizons – Saujon