LE TRIPODE

Magdalène

Georges Peignard


Comment faire entendre la beauté de ce qui est ? Sans nostalgie, ni vanité ? Magdalène ravive avec ferveur un monde pris entre les terres et l’océan, et dans les mailles du temps. Un homme entend, se souvient, scrute les âmes et paysages qui l’ont traversé. Et son attention, si humble, si vive, fait de cette écoute un horizon, l’éternité.
 
« J’ai été pétri et je suis sorti de ces corps et de ces lieux. Puis d’autres territoires, d’autres étendues se sont déployés. Le cœur du récit reste une expérience sensible, corporelle au monde. [...] Je m’y suis plongé avec le bonheur d’un amoureux qui s’immerge, le mange, le porte, est blessé par lui, chaque cicatrice, chaque douleur, chaque chaleur au creux de la main et du ventre disant des connaissances, d’infimes compréhensions, peut-être dérisoires, mais si essentielles pour moi. »
(Georges Peignard, lettre du 14 novembre 2022)

L’Auteur

 

Sculpteur et écrivain, dessinateur, peintre et facteur de marionnettes, Georges Peignard interroge à travers ses œuvres l’histoire, et l’empreinte qu’elle laisse sur nos vies. Il enseigne par ailleurs à l’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne.
 
Il est l’auteur au Tripode de Varlamov (2019), La Fin du cuivre (2020), Fugitive (2021) et Magdalène (2023). Il a aussi apporté ses peintures à l’essai biographique Élisée Reclus, penser l’humain et la terre (2022).

Presse

Coup d’essai, coup de maître. Habitué à sculpter, à dessiner et à composer des histoires en images, Georges Peignard n’avait jamais osé rédiger un livre entier avec des mots. La réussite de Magdalène n’en est que plus frappante. Voici un texte simple, superbe, parfois drôle, toujours émouvant, qui renouvelle en partie le récit d’enfance, un genre où les mêmes procédés tendent à se répéter inlassablement.
Denis Cosnard – Le Monde des livres
 
Un ouvrage d'une sensibilité et d'une humanité à attraper tous les coeurs.
Olivia de Lamberterie – Elle

Il n'y en a pas des caisses, des écrivains qui pénètrent comme lui dans la substance. 
Anne Kiesel – Le Matricule des Anges
 
Georges Peignard nous livre par de petits billets nos regards sur nos vies et la sienne. Il nous parle d'une enfance qui n'est plus, d'un monde qui s'efface. Mais il le fait sans nostalgie, avec une infinie justesse et une poésie discrète qui révèle l'âme d'un pays. 
Tanguy Monnat - Bretagne Magazine


Un livre où les mots prennent toute leur place, mais résonnent comme autant d’instantanés de vie orchestrés par Georges Peignard.
Pierre Wadoux – Ouest-France

C’est un récit qui va trouver écho chez les lecteurs amoureux des mots et du silence. […] C’est l’éloge de la contemplation d’un côté, des souvenirs et de leur impression de l’autre. C’est l’art de décrire l’indicible je dirais, avec poésie et simplicité.
Betty – Librairie de la Maison du Livre et de la Presse – Besançon
À retrouver dans l’émission Le Coup de cœur des libraires, France Bleu
 
Au fil des souvenirs égrenés, se dessine la personnalité d’un artiste, amoureux de la matière brute dont nait l’objet sculpté bien avant le livre et le mystère des mots dont ils sont faits. Le lecteur se laisse prendre à la beauté de ces instantanés minuscules, riches de réflexion sur la vie.

Les Notes 

 

Magdalène est une porte sur le regard particulier que pose son auteur sur le façonnement des paysages et des matières.
Laura Lievens – Karoo

L'auteur entend, se souvient, interroge l'histoire et l'empreinte qu'elle laisse sur notre vie. Les textes sont courts, les mots choisis avec une grande justesse, précis. 
Patrick Tanguy – Armen 

 

C'est un très beau texte plein d'humanité et de sensibilité. Georges Peignard met beaucoup de tendresse dans le regard qu'il porte sur les êtres et les objets. 
Natalie Ramage – Il était une fois un livre, Radio Rennes

 

C’était vraiment un beau moment, que j’ai fait durer, et une lecture qui n’a rien à envier aux classiques de libraires que sont Marie-Hélène Lafon, Pierre Michon, Pierre Bergounioux and co. Il sera défendu !

Simon – Librairie Atout livre – Paris 12e

 

Magnifique Magdalène par l’artiste et désormais auteur Georges Peignard ! On y sent l’âme des immortels de la librairie : Élisée Reclus, James Agee, Walker Evans… Ouvrez n’importe quelle page, retour aux sources immédiat !

Librairie Caractères – Mont-de-Marsan
 
Je viens de lire d’une traite l’excellent Magdalène ! Un grand merci pour le conseil.
Grégory – Librairie Le Bonheur – Montrouge

 

Un roman de bribes narratives, poétiques et nostalgiques. J’aime beaucoup. 

Guillaume – Librairie Charlemagne – Toulon

 

J'ai tout arrêté pour lire Magdalène et je le trouve très beau.

Alain – Librairie Lucioles – Vienne

 

Cette contradiction du souvenir et du néant, la force de la langue, de sa respiration et de ses silences. C'est beau.

Dominique – Librairie À la ligne – Lorient

 

Georges Peignard est un artiste : peintre, sculpteur, facteur de marionnettes, il façonne désormais les phrases. Par petites touches, humblement, il redonne éclat et lustre aux souvenirs, à de petits fragments de vie tirés de l'oubli. L'homme aime et collectionne les traces, il observe les empreintes, signes de notre passage dans le temps et l'espace et fait surgir des sensations et des émotions en sommeil par le biais de ses mots toujours justes et de ses phrases subtilement emboitées. On imagine aisément l'auteur comme un sage, un discret, un taiseux dont les silences et les respirations valent autant que les mots lorsqu'il promène son regard distancié  – mais vif – sur le monde. Un regard d'homme qui n'a pas renoncé à sa part d'enfance...

Virginie – Librairie Forum du livre – Rennes

 

Je viens de lire le très beau Magdalène. Des textes courts et sensibles, esquissant une sorte de parenté, plus ou moins étrange, avec tout un monde d'objets, de gestes oubliés désappris...liant notre présent-présence à des traces plus anciennes qui élargissent notre façon d'être, dévoilant des filiations, des mémoires à même la peau. Il y a quelque chose aussi d'une sorte de « requiem » absolument profane où l'âme se souvient, se recueille... 

Frédéric – Librairie Mot à mot – Pertuis

 

D’un mot surgit un univers, un souvenir, une pensée, une vie… Faire revivre à travers les mots un passé simple, le vécu d’un temps qui passe mais qui s’inscrit dans la réalité du monde. Une très belle écriture poétique et sensible qui nous immerge dans les souvenirs de l’auteur, dans son rapport aux éléments naturels, aux objets de la vie quotidienne, à la beauté.

Marie-Thé Barrault – Librairie Une page à écrire – Janville

 

Ce livre est très beau. Peu à peu s’installe un fil auquel on se relie. 

Nina – Librairie des Arcanes – Châteauroux

 

Georges Peignard est un artiste, sculpteur, facteur de marionnettes… À travers ces petits textes courts et poétiques on parcourt un univers de souvenirs et de pensées sur la créativité.
Librairie Le Vrai Lieu – Grandignan

De toute beauté !

Xavier – Librairie La Pensée sauvage – Metz

 

Quelle poésie dans tous ces détails, ces choses de rien mis en lumière. Le regard posé sur les choses infimes et qui, mises bout à bout, forment une vie. Je prends mon temps, relis des textes, fait des pauses. Merci pour ce livre !

Antoine – Librairie Le Tumulte – Vouvray

 

Moi qui étais lecteur des images de Georges Peignard depuis la découverte de Varlamov, je suis encore tout troublé des lectures de Magdalène. Je dis bien des lectures, car je l'ai lu, un peu, puis lu à d'autres, relu, parcouru, dans un sens, au hasard, dans l'ordre, et ce qui se dégage et qui m'habite encore est fait de forêts, d'enfance, d'outils, de lumières grises-oranges tranchées de l'ombre des granges, de celles connues enfants, de celles visités adultes, de celles que je vois sur les bords de routes et dans les prés de la campagne de montagne où j'habite désormais. J'y découvre aussi la personne derrière les livres que je connaissais, son approche de la matière, du temps.

Ses mots pleins de terre et de pierres, d'arbres et de bois polis, de greniers ont construit des images qui, si elles ressemblent à ce que je connais de ses livres, évoquent un autre soleil, un brouillard joyeux, une absence de nostalgie, oui, dans l'expression de ces passés qui nous appartiennent aussi à toutes.

Raphaël – Librairie La Palpitante – Mens

 

Un grand MERCI ! Une voix très touchante, très juste et très belle. J’ai adoré ces « Je me souviens ».

Stéphanie – Librairie Le Furet du Nord – Lille

 

Arrêtez tout, lisez Magdalène !
Ce livre est très beau...
Alexandre – Librairie de Port Maria – Quiberon

 

Voici l’inventaire d’un homme. Celui de Georges Peignard, sculpteur, peintre et désormais auteur de ce remarquable Magdalène. Au fil de pages splendides et délicates, Peignard évoque avec une adroite justesse tout ce qui peut composer un individu. En y apposant des souvenirs d’un lieu, d’une anecdote, d’une sensation, d’un ressenti, d’une pensée, d’un labeur ou d’un échange, Peignard dépeint avec grâce le lien entre les choses et les années, ce qui imprègne, ce qui s’apprend, ce qui marque, ce qui s’oublie, ce que compose les strates du temps. Son style a un corps et un cœur splendides. D’autant plus splendides que la démarche échappe à toute rigueur ou exercice littéraire pour réussir in fine un tableau d’ensemble d’une richesse telle qu’il nécessite le soin, et le devoir, de s’y attarder.
Jeoffroy – Librairie Goulard – Aix-en-Provence

Un livre rugueux et doux, brut et précieux, qui touche à l'âme et aux vies authentiques. N'allez pas chercher une grande aventure, ni une quelconque saga familiale dans ce livre à l'inspiration autobiographique dont la portée universelle, la sympathie pour les vies rudes et belles, nous installent en symbiose avec la nature et l'humanité qui nous environnent, et nous enchantent de la brillance de l'eau limpide et du vol des oies. C'est beau, touchant, sensible, et ça parle à notre petite oreille interne pour nous amener en douceur à l’équilibre.
Richard – Librairie La Chouette qui lit – Marciac

Quel bonheur ce livre !
Florence – Librairie Port Maria – Quiberon

Dans cet ouvrage à la couverture magnifique, l'auteur nous offre de petits textes ciselés au vocabulaire ausi élégant que poétique. L'art, la nature ou les objets du quotidien sont les sujets abordés dans ce recueil où chaque réflexion se déguste comme une friandise.
Pierrick – Librairie Martelle – Amiens