LE TRIPODE

La Palourde

Sigolène Vinson


Par une nuit de canicule, une femme se réveille. Elle a trouvé refuge depuis des mois dans un village niché entre une falaise d’ocre et un étang oublié. La vie y est extraordinaire, mais aussi au bord du désastre, tout ça à cause d’une centrale hydroélectrique qui déverse par-là ses eaux douces et froides... Elle se dit que le monde est curieux, même quand il s’écroule. Et que l’amour, les hommes, sont épuisants, même dans les commencements. La nuit s’étire, le réel vacille et dans son insomnie elle se demande : que faire, quand tout s’en va ?


Illustration de couverture : Discomedusae, in Kunstformen der Natur, Ernst Haeckel, 1899.

L’Auteur

Sigolène Vinson est l’autrice de romans inclassables, sensibles. Au Tripode, elle a déjà publié Le Caillou, l’histoire d’une femme qui, à cause d’un chagrin d’amour, choisit de devenir un caillou. Elle récidive ici, avec une palourde.

Livres de l’auteur en poche

Presse

L’écriture de Sigolène Vinson redonne de l’oxygène à un monde à bout de souffle.
Florence Bouchy – Le Monde des livres

Dans ce roman à l’humour piquant, où la bascule entre l’oubli et le souvenir, le rêve et la réalité ne tient qu’à un fil, Sigolène Vinson écrit la nécessité de croire pour survivre.
Charline Guerton-Delieuvin Libération

Il faut lire Sigolène Vinson jusqu’à la dernière goutte. 
Catherine Meurisse

Sigolène Vinson, magicienne de sa langue, diseuse de bonnes aventures, voyante de nos craintes. Sa Palourde nous méduse.
Gérard Lefort – Les Inrockuptibles

Sigolène Vinson a conçu, avec La Palourde, un texte d’une rare maîtrise.
Alain Nicolas – L’Humanité

Recette simple, donc, mais écriture d’orfèvre, où les mots, les chutes de paragraphes et les idées sont taillés au hachoir en diamant.
Jérémy Noé – La Marseillaise 

Un livre piquant, doux et inclassable, comme un remède au chagrin face à un monde détraqué. 
Laure Joanin - Midi-Libre 

La grande force de ce texte est de convoquer nos sens. On respire l’odeur de la lagune, le remugle du marais, on touche des anguilles luisantes. […] Ce roman poétique déploie d’une façon singulière le thème du dérèglement climatique et son influence funeste sur les corps et les relations humaines. Il nous dit à quel point tout est si fragile en nous et autour de nous.
Olivia Elkaïm – La Vie

Cette plongée dans l'étang de Berre est à la fois drôle, touchante et immensément poétique.
Blandine Garot – CNews

Dans cette fin de monde, la vie se consume ou résiste, dans les roselières : une faune à fleur d’eau à laquelle la narratrice choisit de s’identifier en « absorbant la lagune », devenant par une sorte de mimétisme fasciné, le bivalve à l’abri du tumulte des hommes.
Les Notes

C'est comme une B.O. de l'univers, les mots de Sigolène. Ce sont des effluves et du sel sur la peau. Des yeux d'enfant toujours un peu surpris devant la bizarrerie de ceux qui l'environnent. Elle un regard de conte qui transcende le réel. Elle en fait une poésie, elle en fait une légende.
Nicolas Houguet – L'Albatros

En nous parlant d’amour, Sigolène Vinson nous parle d’écologie, avec cette idée que nos individualités s’inscrivent dans un macrocosme auquel elles font écho. Pleine de fantaisie et de sensibilité, elle nous dit avec tendresse la cruauté des rapports amoureux, dans un inventaire naturaliste et poétique dont elle seule a le secret.
Caroline Bouteillé – Tout Ma

Un roman sensible et poétique où se mêlent dérèglements intimes et personnels, comme ceux des écosystèmes maltraités.
Constellations de papier

Dans la continuité de son précédent roman aux éditions Le Tripode Le Caillou, Sigolène Vinson nous offre une merveille de fantaisie, inclassable et unique.

Librairie Delamain – Paris 1er


Tous nos sens sont en alerte.

Pauline – Librairie Dialogues – Brest


Une écriture drôle et poétique, à l'image de Sigolène Vinson elle-même, sensible, très sensible, dans le "portrait" de cette héroïne qui cherche un souffle, une nouvelle respiration, pour faire avec les "cicatrices" que l'existence prend parfois un malin plaisir à semer dans nos vies.  Dans La Palourde j'ai aimé l'abondance des dialogues, sans cesse le récit rebondit, et aussi une forme de crudité, de brutalité avec quoi les mots, le sens, n'en finissent pas de ferrailler ! Ce qui vient à notre secours c'est cependant la roseraie, l'étang ... Tout ce qui reste en dehors du langage dans quoi nous pouvons retrouver une place, le bruissement du sensible et des vivants qui nous entourent. 

Frédéric – Librairie Mot à mot – Pertuis

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire La Palourde, à partager l'histoire de cette femme dont les sentiments, pris comme dans une nasse, entre son souci de l'écologie, son futur de jeune femme et les amours (im)possibles sont décrits dans une langue moderne, poétique et pleine d'humour.

Claudine – Librairie La Loupiote – Gap

 

J'ai trouvé que c'était un roman inclassable et sensible. C'est beau et poétique mais aussi très bien renseigné sur l'écosystème de l'étang, dont on apprend beaucoup de choses. Cette femme évolue dans l'univers qu'elle s'est rêvée, énigmatique et flottant. Le lecteur est sans repères, c'est comme si la lecture dessinait des traits mouvants sur des calques flous juqu'à ce que tout à coup, les calques se superposent parfaitement, tout devenant clair et net pendant quelques instants avant de se fondre à nouveau dans l'inexpliqué.

Véronique – Librairie Expression – Châteauneuf-Grasse


C'est tout ce cosmos vivotant autour de l'étang qui émeut dans ce roman dont les mots apaisent nombre de maux... Quand le monde aquatique rejoint le monde terrestre, l'amour trouve des voix et voies plurielles bien surprenantes...
Lucie – Librairie Les Nouveautés – Paris 10e


Mille mercis pour cette très belle découverte ! J'ai été happée par ses mots et son style d'écriture de la première à la dernière phrase. Le récit m'a vraiment transportée : les différents personnages et leurs histoires, les rencontres inattendues, le trouble entre le réel et l'imaginaire...
Judith – Librairie Les Carnets d'Albert – Sallanches

Un amour aquatique.
Olivier – Librairie L’Espèrluète – Chartres


Comment vivre lorsque TOUT s’effondre, nos amours comme notre planète ? Après Le Caillou, Sigolène Vinson réinterroge notre rapport aux autres et au monde dans le décor de l’étang de Berre, où Faune et Flore semblent maintenir un statut quo avec l’Homme.

Alexia – Librairie du Cours – Lyon 3e

J'ai adoré la façon dont Sigolène fait vibrer la nature autour de ses personnages, comment le soleil, l'air, la chaleur, nous envoûtent autant que l'écriture. Et que dire des personnages, ce microcosme insolite aussi fascinant à étudier que les palourdes et les hippocampes.
Christelle – Librairie Les Passeurs de Mots – Sarzeau

Je me suis régalée.
Cécile – Librairie Un point un trait – Lodève

Entrez dans le monde fabuleux de Sigolène Vinson et laissez-vous envoûter par son univers à la frontière de l'imaginaire.
Librairie Les Déferlantes – Morlaix

Ce roman étonnant se lit comme la traversée d’un rêve, parfois inquiétant, parfois lumineux, on s’y laisse porter comme dans l’eau d’une rivière hypnotisante, tentant de déceler les prises qui nous rattachent à la réalité.
Librairie Lettres et Merveilles – Pontoise

Un roman singulier et fantasque dans lequel les blessures intimes se mêlent à celles de la nature. C’est drôle et touchant à la fois !
Magali – Librairie Quartier Latin – Saint-Étienne

Un magnifique roman. […] Notre lectorat est conquis.
Librairie L’Allée des Feuilles – Saint-Germain-en-Laye