Dans ce roman à l’humour piquant, où la bascule entre l’oubli et le souvenir, le rêve et la réalité ne tient qu’à un fil, Sigolène Vinson écrit la nécessité de croire pour survivre.
Charline Guerton-Delieuvin – Libération
Il faut lire Sigolène Vinson jusqu’à la dernière goutte.
Catherine Meurisse
Sigolène Vinson, magicienne de sa langue, diseuse de bonnes aventures, voyante de nos craintes. Sa Palourde nous méduse.
Gérard Lefort - Les Inrockuptibles
Cette plongée dans l'étang de Berre est à la fois drôle, touchante et immensément poétique.
Blandine Garot, CNews
Dans cette fin de monde, la vie se consume ou résiste, dans les roselières : une faune à fleur d’eau à laquelle la narratrice choisit de s’identifier en « absorbant la lagune », devenant par une sorte de mimétisme fasciné, le bivalve à l’abri du tumulte des hommes.
Les Notes
C'est comme une B.O. de l'univers, les mots de Sigolène. Ce sont des effluves et du sel sur la peau. Des yeux d'enfant toujours un peu surpris devant la bizarrerie de ceux qui l'environnent. Elle un regard de conte qui transcende le réel. Elle en fait une poésie, elle en fait une légende.
Nicolas Houguet, L'Albatros
Un roman sensible et poétique où se mêlent dérèglements intimes et personnels, comme ceux des écosystèmes maltraités.
Constellations de papier
Dans la continuité de son précédent roman aux éditions Le Tripode Le Caillou, Sigolène Vinson nous offre une merveille de fantaisie, inclassable et unique.
Librairie Delamain – Paris 1er
Tous nos sens sont en alerte.
Pauline – Librairie Dialogues – Brest
Une écriture drôle et poétique, à l'image de Sigolène Vinson elle-même, sensible, très sensible, dans le "portrait" de cette héroïne qui cherche un souffle, une nouvelle respiration, pour faire avec les "cicatrices" que l'existence prend parfois un malin plaisir à semer dans nos vies. Dans La Palourde j'ai aimé l'abondance des dialogues, sans cesse le récit rebondit, et aussi une forme de crudité, de brutalité avec quoi les mots, le sens, n'en finissent pas de ferrailler ! Ce qui vient à notre secours c'est cependant la roseraie, l'étang ... tout ce qui reste en dehors du langage dans quoi nous pouvons retrouver une place, le bruissement du sensible et des vivants qui nous entourent.
Frédéric – Librairie Mot à mot – Pertuis
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire La Palourde, à partager l'histoire de cette femme dont les sentiments, pris comme dans une nasse, entre son souci de l'écologie, son futur de jeune femme et les amours (im)possibles sont décrits dans une langue moderne, poétique et pleine d'humour.
Claudine – Librairie La Loupiote – Gap
J'ai trouvé que c'était un roman inclassable et sensible. C'est beau et poétique mais aussi très bien renseigné sur l'écosystème de l'étang, dont on apprend beaucoup de choses. Cette femme évolue dans l'univers qu'elle s'est rêvée, énigmatique et flottant. Le lecteur est sans repères, c'est comme si la lecture dessinait des traits mouvants sur des calques flous juqu'à ce que tout à coup, les calques se superposent parfaitement, tout devenant clair et net pendant quelques instants avant de se fondre à nouveau dans l'inexpliqué.
Véronique – Librairie Expression – Châteauneuf-Grasse
C'est tout ce cosmos vivotant autour de l'étang qui émeut dans ce roman dont les mots apaisent nombre de maux... Quand le monde aquatique rejoint le monde terrestre, l'amour trouve des voix et voies plurielles bien surprenantes...
Lucie – Librairie Les Nouveautés – Paris 10e
Mille mercis pour cette très belle découverte ! J'ai été happée par ses mots et son style d'écriture de la première à la dernière phrase. Le récit m'a vraiment transportée : les différents personnages et leurs histoires, les rencontres inattendues, le trouble entre le réel et l'imaginaire...
Judith – Librairie Les Carnets d'Albert – Sallanches
Un amour aquatique.
Olivier – Librairie L’Espèrluète – Chartres